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Socjoekonomika usług medycznych (w języku francuskim) | Gazeta Poselska

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Socjoekonomika usług medycznych (w języku francuskim)

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S o c i o – é c o n o m i e   d e   l a   s a n t é
Adam Fularz
Pourquoi certains pays ont les meilleurs systèmes de la santé ? Quels sont les paramètres de la mesure de l’efficacité et des coûts de la médicine ? Est- ce que les soins sont gratuits ? Ce sont les questions principales de cette article.
1. Introduction
La mauvaise santé doit être une cause de la pauvreté. Dans les pays les moins avancés, l’espérance de vie s’élevé à 49 ans et un enfant sur 10 n’atteindra pas l’âge d’un an. Le maladie peut provoquer un chute dans la pauvrté, et la mauvaise santé est à la fois une cause et une conséquence de la pauvreté. Une meilleure santé, y compris la santé en matière de reproduction, et une meilleure éducation contribuent à la croissance économique.
1.1. Economie de la santé? Pourqoui-pas.
Economie de la santé n’a pas une longue tradition. Presque pour touts les gens, l’alliance de l’économie et de la médecine est contre nature. Comme la santé publique, l’économie de la santé met en avant les intérêts de la collectivité tandis que la médecine s’intéresse en priorité au patient. Le médecin économiste s’efforce de concilier les deux. Sa fonction comme ses travaux sont divers et dépendent de la structure à laquelle il appartient. L’économie utilisée ici (en mots de B. Majnoni d’Intignano), ce n’est pas  « faire des économies », mais  « faire mieux avec l’argent disponible ». 
Les outils classiques de l’économie sont appliqués ici par les économists de la santé. On parle de l’offre des soins (médicins, hôpitaux) et de la demande de santé et de soins. Les principaux concepts sont la production de santé, la santé durant le cycle de vie, l’évaluation du capital santé,  la performance et le financement des différents établissements, la rémunération des différents personnels et la valeur de la vie humaine. 
1.2. Le secteur de la santé
 Le secteur de la santé, souvent présenté comme source de dépenses, contribue à la création de la richesse. Un argument, qu’il faut rappeler, est l’amélioration de l’état de santé des individus actifs, qui augmente la productivité du travail (diminution de l’absentéisme). Le secteur santé améliore les conditions de vie de la population et se rattache principalement au domaine des services, qui est moteur de l’économie moderne dans les pays industrialisés. Le dynamisme de ce secteur se diffuse dans l’ensemble de l’activité économique (chimie, industrie du médicament, informatique, logistique, finances et assurances). 
Le progrès scientifique et technique dans le secteur santé (biotechnologies, imagerie médicale, médecine nucléaire) dynamise l’innovation et la recherche dans l’ensemble de l’économie. Le secteur santé est l’une des activités humaines qui génère le plus d’emploi directs (médecins, infirmiers, aide-soignants, ingénieurs, assureurs), et indirects. Enfin, l’impact sur des valeurs immatérielles (bien-être, bonheur, environnement) est considérable. On parle de fortes « externalités » positives.
1.3. Les Françaises sont de plus en plus malades
Selon la definition, la santé est  « un état de compet bien-être physique et mental ». Malheuresement, population en France n´est pas du tout dans un état de bien-être. 48 % de la population portent des lunettes, 15 % sont obèses, plus de 50 % des personnes agées de 65 ans ou plus ont perdu presque toutes leurs dents, 25 % d’entre elles ont des difficultés à se déplacer. Le cadre de vie de certaines personnes est la cause de maladies, comme cancer. Si nous recherchons les statistiques, nous trouvons que 43 % des hommes et 22 % des femmes de plus de 15 ans fument de facon habituelle, et les comportements excessifs se multiplent: 20 % des hommes contre 7 % des femmes fument au moins 20 cigarettes par jour. Et l’abus de l’alcool n’est pas du tout rare: 19 % des hommes contre 1,3 % des femmes boivent quotidiennement au moins cinq verres d’alcool. En conséquence, c’est en France que la mortalité par cancer est la plus forte pour les hommes que pour les femmes, et que les hommes françaises vivent huit ans moins long que les femmes en terme de l’espérance de vie.
2. Les differents systèmes de santé
Les differences entre les systèmes économiques de santé sont énormes. Si nous voulons être soigne dans les meilleures conditions possible, il faut aller aux Etats- Unis. La France est la championne qualité- prix, mais les faiblesses sont grands. Le système français coûte cher aux assurés, et les préstations sont de moins en moins bien remboursés. Et le Royaume- Uni, avec le NHS (National Health Service) est le seul pays avec un organisme financé directement par l’impôt.
2.1. Les Etats- Unis
Le pays le plus avancé de l’économié du marché est aussi celui les dépenses de santé sont les plus élevées. En moyenne, un Américain dépense le double d’un Allemand ou d’un Français pour se soigner. Entre 1980 et 1994 les dépenses y ont augmenté de 500 % ! Les hôpitaux aux Etats- unis sont le mieux équipée, et c’est la ou se trouve le plus grand nombre de lits d’hôpitaux disponibles, et le nombre d’agents hospitaliers par lit est deux fois plus grande qu’en France. Les établissements de soins sont gérés par le privé ou par des associacions. Les assurances privées qui couvrent les frais d’hospitalisation sont volontaires et … coûteuses.
2.2. Le Royaume- Uni
Ici, les médicins et hôpitaux relèvent tous du NHS, une organisme d’Etat, financé directement par l’impôt. Les patients peuvent aussi se soigner à leurs propres frais en secteur privé. Tony Blair, le premier ministre veut réaliser d’économies À des efforts de productivité et à la fermeture pure et simple des hôpitaux pas assez rentables.
2.3. L’Allemagne
En Allemagne l’Etat a mis en concurrence les quelque 600 caisses d’assurance-maladie pour améliorer leur productivité. Chacune peut décider de manière autonome du niveau de leurs cotisations et du montant de remboursements.
2.4. La France
La place croissante de la santé dans l’économie nationale s’exprime par la consommation des finances (10,2 % du Produit Intérieur Brut, c’est 750 milliards fe francs). L’ensemble des services et des industries de santé fournissent emplois à environ 1,7 million de Françaises (7,5 % de la population active). Aujourd’hui on estime à 99,8 % la part de la population protégée par l’assurance maladie. L’introduction de la sécurite sociale proviennt de la loi de 1946, qui a prevu l’assurance obligatoire pour l’ensemble de la population française. En France dans la domaine de la santé nous avons un vaste secteur public et un important secteur libéral. Le financement est constitué par les cotisations obligatoires des assurés sociaux qui ont le choix entre secteru public et privé.
2.5. Les régimes
L’assurance maladie est gérée par des différents régimes, comme la “Régime général” (80 % du part de la marché), “La Mutualité sociale agricole” (9 % de la population), “La caisse nationale d’assurance maladie des professions indépendantes” (6% de la part du marché). Ils existent des autres rgimes, qui couvrent certaines catégories de la population (comme les étudoiants, agents de la SNCF etc). Les Françaises payent leurs taux de cotisation trés élevés: 12,8 % du salarie brut pour le parti de l’employeur et 6,8 % pour le parti de l’employé.
En fait, les régimes de sécurité sociale ne financent que prés de trois quarts des dépenses de consommation médicale. En effet, la couverture presque totale de la population par l’assurance maladie obligatoire ne corresond pas à la gratuité des soins. Les règles laissent aux maladies un grand parti dans le paiement des soins médicaux. Les patients doivent, d’un part, faire l’avance des frais et, d’autre part, ils ne reçoivent qu’un rembursement partiel de leurs dépenses. La participation financiére de malades limite le développement de la consomation des soins médicaux.
2.6. Le ticket modérateur
Le ticket modérateur c’est la part des dépenses non remboursées. L’assurance maladie obligatoire laisse à la charge du malade, ou de son éventuelle assurance complementaire, le ticket modérateur. Il y a certains types de soins pathologiques, qui sont exonéré du ticket modérateur. Il y a 3 types d’exonération: liée à la pathologie, liée à la situation de l’assuré ou du bénéficiaire. En dehors des cas d’exonération, le ticket modérateur dépend du type de services ou de biens. Il est fixé à 30 % pour les services de médicins, 40 % pour les services d’auxiliares médicaux et à 35 % pour la plupart des médicaments (mais à 65 % pour des médicaments “de confort”). A l’hôpital le ticket modérateur est en principe de 20 %. Aussi les malades exonérés doivent payer un “forfait hôtelier”, de 10 euro en environ par jour.
3. Conclusion
Quand on compare les systémes de santé, il parait évident que la proportion des frais payés efectivement par les malades va s’augmenter. Il faudra démander, si une telle tendance est juste pour ceux, qui sont, pour la plupart de fois, déjà en grandes difficultés. Dans une enquête (portant sur 41 pays), les pauvres ont cité la maladie comme la cause la plus fréquente de leur chute dans la pauvreté. Les tenances mondiales de l’économie de la santé se dirigent vers le libéralisme, mais c’est à douter si les malades vont etre si riches pour tous payer, et si le payement des frais médicaux ne resultera en augmentation du parti de la population deprivé de soins médicaux, qui sera destiné d’être pauvre et de vivre dans la doleur.
Bibliographie
M. Duriez, P-J. Lancry, D. Lequet-Slama, S. Sandier, “Le systéme de santé en France”, éd. PUF 1996, Paris.
Beatrice Majnoni D’Intignano: “Economie de la santé”,  éd. Broché  2002.

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